Controverse autour de la vache folle
Une rumeur circulait depuis quelques années à propos de présumés cas d'ESB aux États-Unis qui auraient été cachés par l'administration américaine. En effet, les producteurs du Québec et du Canada prétendent qu'il est impossible qu'un pays avec un cheptel bovin aussi important que celui des États-Unis (8 fois plus important que celui du Canada) n'ait pas été au prise avec un seul cas d'encéphalopathie spongiforme bovine. D'ailleurs, un rapport publié en 2004 par le département américain de l'Agriculture (USDA) révélait que le système de dépistage de la vache folle aux États-Unis était inefficace.
Or, la rumeur semble en train de se confirmer à la lumière d'un reportage diffusé par le réseau CBC qui rapportait les affirmations de Masuo Doi, responsable de l’enquête sur le premier cas potentiel d'ESB en 1997, et de Lester Friedlander, un ancien chef inspecteur dans un important abattoir de Philadelphie. Ce dernier affirme que dans certains cas, des test effectués dans des laboratoires privés qui se sont révélés positifs, se sont finalement systématiquement avérés négatifs après une vérification dans les laboratoires du gouvernement. Il a causé tout un émoi lors de son passage, la semaine dernière, devant une commission parlementaire à Ottawa. Le Dr Friedlander est associé à des groupes qui font la promotion de productions animales favorisant le développement durable à l'échelle locale, la viabilité des communautés et des choix éclairés des citoyens et des consommateurs.
Cette question refait surface alors que les producteurs bovins intentent un recours collectif contre le gouvernement canadien.
Or, la rumeur semble en train de se confirmer à la lumière d'un reportage diffusé par le réseau CBC qui rapportait les affirmations de Masuo Doi, responsable de l’enquête sur le premier cas potentiel d'ESB en 1997, et de Lester Friedlander, un ancien chef inspecteur dans un important abattoir de Philadelphie. Ce dernier affirme que dans certains cas, des test effectués dans des laboratoires privés qui se sont révélés positifs, se sont finalement systématiquement avérés négatifs après une vérification dans les laboratoires du gouvernement. Il a causé tout un émoi lors de son passage, la semaine dernière, devant une commission parlementaire à Ottawa. Le Dr Friedlander est associé à des groupes qui font la promotion de productions animales favorisant le développement durable à l'échelle locale, la viabilité des communautés et des choix éclairés des citoyens et des consommateurs.
Cette question refait surface alors que les producteurs bovins intentent un recours collectif contre le gouvernement canadien.
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